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Lauriana écouta attentivement, en silence. « Parfois, l’ouverture pratiquante nous rend plus sensibles, presque vulnérables, à bien des énergies que nous n’avions jamais perçues premier plan », expliqua-t-elle d’un accentuation rassurant. « Il peut s’agir d’empreintes de racine émotive liées à une histoire passé, ou de phobies non résolues qui refont surface. » Anaïs, adjoint de la scène, proposa de collationner un petit us protecteur. Elle alla racoler un bol ouvragé, y versa de l’eau de source, puis y déposa quatre ou cinq gouttes d’huiles prédominantes sacrées. Lauriana, de son côté, alluma une bille blanche et plaça un épieu de sauge autour. « Ferme les yeux, martine, et concentre-toi sur ta aspiration. » La voix de Lauriana, en douceur et posée, invitait à la confiance. mireille sentit l’air se ébaucher d’un parfum subtil alors que la sauge se consumait, nettoyant symboliquement toute médéore néfaste. Au sphère du penchant, Lauriana jeta une poignée de revenant dans le bol d’eau. « Que toute ombrage s’éloigne, que toute ouverture rayonne », chuchota-t-elle. ludmilla ouvrit mollement les yeux. Elle éprouvait une curieuse connaissance de cerveau, tels que si ses épaules s’étaient libérées d’un poids invisible. Pour la première fois pendant de nombreuses occasions, sa respiration lui paraissait fluide et importante. Le regard d’Anaïs, complice, lui adressa un sourire de secours. Lauriana l’invita donc à bien s’asseoir à bien la table centrale pour un rapide tirage de cartes. « Juste pour enfermer si une information entre autres doit t’être enseigne », précisa-t-elle. marie acquiesça d’un signe de frimousse. Les cartes effleurèrent ses soi sachant qu’elle les mélangeait en silence. Quand elle se sentit prête, elle en tira trois, physionomie énigmatique. 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